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Hier dimanche, alors que je travaillais (et oui je travaille le dimanche) je reçois un SMS de ma Femme qui me dis "dépèche-toi de rentrer que tu mette ta cage de chasteté". Je suis préssé de rentrer et impatient de mettre ma cage de chasteté. Dès que ma Femme me demande de la retirer, je me sent nu, il me manque quelque chose. Je me suis habitué à la porter. Mais pour des raisons professionnelles, je ne peux pas aller travailler avec. Quel dommage. Comme j'aimerai travailler dans un bureau, là au moins cela serait possible de la porter aussi longtemps que ma Femme voudrait que je la porte. Le but d'une cage de chasteté étant bien entendu de faire porter au soumis sa cage de chasteté de longue, voire très longue périodes pour qu'il se fasse de plus en plus aimant, de plus en plus serviable avec sa Femme.

Ma Femme mérite réellement que je lui sois soumis. Elle est si merveilleuse que je ne pense qu'à la satisfaire, aussi bien dans les tâches ménagères que sexuellement lorsqu'elle a envie d'avoir du plaisir.

Je rentre donc à la maison aussi vite que possible, et après avoir dit bonjour à ma Femme, je monte dans la chambre et met immédiatement ma cage de chasteté. Je suis en repos pendant une semaine et je sais que je vais devoir la porter la semaine durant.

Arrivé le soir, je me couche et ma Femme retire ses chaussettes de sport qu'elle a porté toute la journée et me les pose sur le nez en me disant "tiens, sent mes chaussettes, elles doivent sentir bon". Elle me dit que je dois dormir cette nuit avec ses chaussettes sur mon oreiller pour bien m'imprégnier de leur odeur. En plus de quoi, alors que je porte ma cage de chasteté, ma Maîtresse m'impose de mettre en plus mon serre couilles. Je me retrouve donc avec ma cage qui contient ma queue et le serre couilles qui enserre mes couilles. Quelle contrainte, quel plaisir, quel bonheur.

La nuit a été terrible, comme à chaque fois. Mes érections sont douloureuses. Ma queue ne peux pas bander correctement à cause de ma cage de chasteté. C'est douloureux mais c'est bon. Bon de se sentir soumis à sa Femme, à sa Maîtresse. Si j'en suis là, c'est avant tout parce que je lui ai demandé de devnir son mari soumis. Elle a décidé de me faire porter ma cage, mes érections sont contenues, c'est sa volonté. Je me dois d'accepter sans rien dire, toutes ses décisions à mon encontre. Elle est ma Maîtresse.

Ce matin, au réveil, lorsque je sors de la salle de bain, je trouve sur le lit, une culotte femme écrue et un collant couleur chair que je dois mettre sous mes vêtements masculins. Ma Maîtresse qui travaille, m'a donné du ménage à faire et des courses. Quel sensation de plaisir que de sentir le nylon sur ses jambes. Quel contrainte d'avoir son sexe enfermé dans une cage de chasteté. Je suis heureux, heureux d'être un mari soumis et d'obéir à ma Femme. Je l'aime comme jamais.

Ma femme et moi sommes mariés depuis maintenant 20 ans. J'ai toujours été un mec, un vrai avec des envies de faire subir à ma femme ce que je voulais. Comme un male viril, je pensais que j'avais le droit de faire l'amour à ma femme quand et où je voulais. Je me trompais, ce n'étais jamais l'endroit et surtout jamais le moment, parce que ceci, parce que cela. Elle n'étais que très rarement d'accord avec mes idées de l'attacher, la dominer...

Tel et si bien que je me suis résigné au fil du temps à être de plus en plus passif dans mes élans et de ce fait j'attendais qu'elle soit disposée à faire l'amour. Fatalement, entre temps, je me masturbais copieusement dès que j'en avais l'occasion. Dès que je me retrouvais seul, tellement son contact me manquait, je prenais une de ses culotte pour la sentir en me masturbant.

Je me suis donc résigné, à force d'essuyer des refus de sa part en matière de sexe, à devenir un mari de plus en plus passif. Je la léchais lorsqu'elle me le demandait, je la pénétrais lorsqu'elle me le demandait, je me masturbais lorsqu'elle me le demandait.

Jusqu'au jour où j'ai eu envie qu'elle devienne ma Maîtresse pour qu'elle décide de ma sexualité. Je voulais qu'elle maîtrise mes érections, qu'elle régule mes éjaculations. Je lui ai suggéré de me féminiser et peu à peu elle a étté dans mon sens.

Mais cela était trop aléatoire, et je n'étais jamais satisfait, je n'en avais jamais assez.

A chaque fois que j'amenais le sujet sur le tapis, elle me promettait de tenir son rôle de Maîtresse. Cela débutait généralement bien, et puis cela s'espacait gentiment, pour quasiment être inexistant.

Notre entente était bien sûr à l'image de notre sexualité. Le sexe se faisant de plus en plus rare, les disputes se sont faites de plus en plus fréquentes.

Durant l'été 2010, une fois encore, ma femme me promets que la rentrée va être le moment du changement. Elle décide de reprendre la situation en main et de se comporter avec moi comme une Maîtresse et je vais devenir son mari soumis.

Sur ces mots, à notre retour de vacances en septembre, j'ai acheté une cage de chasteté pour mon sexe et je lui ai présenté.

Elle a semblé hésitante à cet objet de contrainte. Les débuts ont été cahotiques.

Maintenant elle ne peux plus s'en passer. Elle se fait un malin plaisir à me faire porter ma cage de chasteté dès que nous sortons où dès que nous allons en famille ou que nous recevons du monde.

Pour Noël, je me suis risqué à lui faire la liste de mes attentes et de tout ce que j'attends d'elle. Je lui ai même suggéré de ne pas se limiter à cette liste en l'encourageant à aller bien au dela. Cette liste repertorie ce que j'aimerai bien subir, mais libre à ma Maîtresse de se montrer imaginative pour me faire subir ce dont elle a envie, parce ce que je suis tout de même son mari soumis.

Le début d'année 2011 se présente bien. Quotidiennement, ma Maîtresse se montre autoritaire avec moi et me fait rappeler que c'est à ma demande qu'elle est devenue ma Maîtresse et que je lui dois obéissance. Dès que j'élève la voix, elle sait me remettre à ma place.  Dernièrement, suite à une remontrance mal venu de ma part, elle m'a appelé à elle pour que coller une gifle. Oui une magistrale gifle qui a eu pour effet de me calmer immédiatement.

Ma femme Maîtresse a décidé que je devrais porter un collant pour dormir tous les vendredi soir.

Il y a une semaine de cela, ma Maîtresse m'a fait mettre à genou face à elle qui était sur le dos. Elle a commencé à me branler avec ses pieds. Je mouillais abondament. Elle m'a présenté un de ses pied qui avait l'odeur de mon sexe et elle m'a ordonné de lécher ma mouille pendant qu'elle continuait de me branler avec son autre pied. Puis ma Maîtresse a arrêté de me branler et elle a posé son pied sur le lit devant mon sexe.J'embrassais et je léchais toujours son autre pied et elle m'a ordonné de me branler. Je me suis exécuté et j'ai joui dans un rale libérateur. Suite à cela, ma Maîtresse m'a parlé sèchement "tu a joui sur mon pied. Viens lécher ton sperme et applique toi". J'ai obéis et j'ai léché mon sperme. Après avoir tout léché, je lui ai essuyé le pied avec une serviette. Elle m'a laissé en plan et m'a dit bonne nuit en se tournant, sans même m'embrasser. Quel plaisir melé de honte j'ai ressenti.

Hier soir, alors que j'étais couché, ma Maîtresse est entrée dans la chambre pour se déhabiller. Elle m'a lancé sur le visage, les chaussettes qu'elle avait portée toute la journée et qui était odorantes. Elle s'est approché de moi et me les a plaqué sur le nez en me disant "tiens, sent, elle sentent bon". Elle s'est couchée et a commencé à jouer avec mon sexe qui s'est mis à bander immédiatement entre ses doigts. Elle m'a demandé de mettre mon serre couille (une petite lanière de cuir qui ferme avec une pression et qui me serre les couilles). Puis elle m'a invité à venir son ses aisselles pour me délecter de l'odeur de ses dessous de bras qui étaient particulièrement odorants eux aussi.

Ma Maîtresse m'a pinc" les tétons pendant 5 bonnes minutes. Je me tordais de douleur et de palisir mélangé. Je dois subir sans protester et aucun mot, gémissement ne dois sortir de ma bouche. Quand elle en a eu assez, ma Maîtresse m'as ordonné de me branler. Je ne me suis pas fait prier et j'ai attrapé ma queue pour m'activer tellement j'avais envie de me faire du bien. Je me suis éjaculé sur le ventre. Ma Maîtresse m'a alors ordonné d'un ton sec "lèche tes doigts". Je lui ai obéis sans discuter.

J'aime la tournure que prend notre relation. Notre couple retrouve une osmose qui existait au début de notre union et qui avait disparu depuis longtemps. Je lui ai demandé de devenir ma Maîtresse, et même si les débuts ont été difficiles, je crois qu'elle a enfin compris qu'elle avait tout bénéfice à faire de moi son mari soumis, pour mon plus grand bonheur. Je suis disposé à lui obéir en tous points, quoi qu'elle m'impose. C'est tout de même moi qui lui demande de se montrer intransigeante envers moi, alors je me dois de ne pas la décevoir. Ses désirs sont des ordres tout comme ses ordres sont mes désirs.

Dans un prochaina rticle, je vous ferai état de mes attentes que je lui ai listé pour noël.

Luc, un mari soumis à sa femme et heureux de l'être.

lucsmboy@yahoo.fr